Enfant, ma nature hypersensible m’a conduite à me questionner très vite sur notre condition humaine et le pourquoi de notre existence. Le monde m’apparaissait… hostile!
La lecture (beaucoup!) sur le développement personnel, les thérapies énergétiques, la psychologie,…, l’ouverture au monde spirituel (houuu ! un mot tabou dans mon entourage, car lié à des ‘religieusetés’), m’ont permis de rendre mon chemin petit à petit plus lumineux et de sortir progressivement de mon mal être, mon mal de vivre.
A la sortie de l’adolescence, je choisis des études axées sur les langues étrangères, adorant voyager, mais ne sachant pas trop où je voulais atterrir dans la vie professionnelle. J’atterris dans le secteur purement administratif et commercial, répondant ainsi à mes aptitudes, certes, mais un peu moins à mes intérêts sur la nature humaine, et l’exploration de mes valeurs comme l’empathie, l’entraide,… Cela me prit un petit paquet d’années pour conscientiser la perte de sens dans mon travail et le malaise en découlant, pleinement empêtrée dans mes croyances limitantes héritées de mon environnement éducatif, socio-culturel,…
Je continuai à approcher de multiples disciplines constructives et enrichissantes, le yoga, la sophrologie, la psychothérapie, le reiki, l’hypnose, l’EFT, la méditation avant d’arriver un jour à la kinésiologie.
Et là, je pris littéralement une ‘claque’ salvatrice’ !
Je pouvais enfin mettre des mots sur mes maux.
Grâce aux informations enfouies, occultées, que le test musculaire révélait à ma conscience, et aux ‘équilibrations’ apportées, enfin je commençais à éclore, à retrouver de la légèreté, à troquer mon air grave pour le sourire…
Et je me retrouvais sur les bancs de l’Institut Mosan de Kinésiologie Spécialisée.
Parallèlement à ma formation, je me suis initiée à d’autres techniques comme le massage, le système PEAT, la logosynthèse, les soins « bars access », le magnétisme humaniste, la réflexologie tissulaire pour calmer les douleurs,…
J’intègre ces méthodes dans ma boîte à outils en séance.